© Laurent Lagarde
© Laurent Lagarde

Émission du 1er juin 2022

 

TEXAS IS THE REASON Back and to the left
KID KAPICHI Working man’s town
KURT VILE Flyin (like a fast train)
HERIOT Coalescence
PUNKBAND Red rag to a bull
END IT Hatekeeper
DEPECHE MODE Behind the wheel
CRACK CLOUD Drab measure
YOUNG GODS Gasoline man
MORPHINE The night
LEWSBERG Six hills
FRUSTRATION Too many questions
BITTER END The hand that feed
CROWS Slowly separate
HELMET FBLA
TEAM SLEEP Your skull is red

Emission du 1 er juin 2022

KID KAPICHI « Working man’s town »

 

Quatuor punk pop de Hastings qui a autoproduit son premier album l’an dernier This Time Next Year dont on va écouter « Working man’s town ».

 

PUNKBAND « Red rag to a bull »

 

Duo post punk anglais qui n’a sorti que des singles depuis 2019. « Red rag to a bull » (2021/eOne Musik UK).

 

CRACK CLOUD « Drab measure »

 

Collectif post punk de huit musiciens formé autour du batteur chanteur Zack Choy à Cagliari au Canada en 2016 et depuis déménagé à Vancouver, ville dans laquelle la formation s’est développée dans le cadre de programmes de lutte contre les addictions et pour la santé mentale, réunissant des intervenants et des patients. En attendant la sortie de Tough Baby, leur album sophomore en septembre prochain, on va écouter un extrait de leur premier EP éponyme sorti en 2016 chez Meat Machine.

 

LEWSBERG « Six hills »

 

Quatuor art rock, indie rock et paritaire de Rotterdam, très influencé par le Velvet Underground, Television ou Jonathan Richman, avec trois albums autoproduits dans sa musette, LEWSBERG a sorti un single en janvier dernier « Six hills » chez Speedy Wunderground.

 

CROWS « Slowly separate »

 

Quatuor post punk londonien créé en 2015, CROWS avait sorti son premier album en 2019 sur Balley Records, le label de Joe Talbot, par ailleurs chanteur d’IDLES. Ils récidivent cette année avec le stimulant Beware Believers (01/04/2022 chez Bad Vibrations) qui nous propose une collection de tubes assez phénoménale. Comme par exemple « Slowly separate » qui incite à la fois au head-banging et au arse-shaking en attendant le refrain bien punkoïde et fist-raising.

 

 

 

 

 

 

 

no brain no headache